« nous ne sommes pas des êtres humains venus vivre une
expérience spirituelle, nous sommes des êtres spirituels venus vivre une
expérience physique. »
Envie de partager avec vous cette lecture du magazine
Inexploré de ce trimestre (n°40), qui m'a vraiment inspirée.
C'est un numéro consacré à l'après vie, et on peut lire dans
l’article consacré aux « preuves de l’après vie »*
"...De nombreux expérienceurs d'EMI [NDE] ou de
sorties de corps sont capables de relater avec exactitude des conversations
entre les médecins ou les membres de leur famille, ou encore décrire avec
précision des objets ou des scènes ayant eu lieu dans ou en dehors de
l'hôpital. "Cela veut donc dire que ces patients ont vu sans leurs yeux,
entendu sans leurs oreilles et compris sans leur cerveau!"s'exclame le Dr
Charbonnier. Comment est ce possible? Cela vient contester le concept
fondamental de la science occidentale selon lequel la conscience est produite
par le cerveau et ne peut donc exister sans lui. Selon le Dr Pim van Lommel, « il
paraîtrait même exister un rapport inversé entre la clarté de conscience et la
perte des fonctions cérébrales ». Après 20 ans de recherche sur les EMI,
ce célèbre cardiologue néerlandais dit en être arrivé à l’inéluctable
conclusion selon laquelle le cerveau aurait une fonction de facilitation et de
réception et non une fonction de production de la conscience. « Au vu des
expériences rapportées dans le monde entier, nous pouvons supposer que les
champs d’information de notre conscience ont leur source dans un monde
invisible au delà du temps et de l’espace. Dans mon idée, la conscience n’est
pas physiquement ancrée, elle est non locale », partage-t-il dans
l’enquête de Leslie Kean. Ses conclusions corroborent celles du chercheur
Emmanuel Ransford, spécialiste de physique quantique, pour qui il existerait
une grande toile suprale, sorte de double invisible de notre univers visible,
dans laquelle résiderait notre métaconscience et où toutes les métaconsciences
seraient reliées entre elles. Selon lui, les données captées par les mediums
proviendraient de cette grande toile où elles sont archivées. « Quand le
cerveau s’arrête, comme un poste de télé ou une radio, les ondes de notre
conscience demeurent, poursuit Pim van Lommel. En d’autres termes, nous avons
un corps mais nous sommes conscience, et celle ci n’a ni commencement ni
fin ». Ainsi pour ces éminents scientifiques la mort ne serait pas notre
fin ; elle sonnerait simplement notre passage ou notre retour vers une
dimension plus élevée. Et d’après leurs recherches, il ne s’agirait pas d’une
quelconque fusion impersonnelle dans un grand bain de conscience universelle,
mais bel et bien d’une survivance individuelle, dans laquelle notre
personnalité, avec ses traits distincts et ses souvenirs, serait conservée. « Par
delà la mort du corps, notre métaconscience crée une forme de survivance
psychique propre à chacun d’entre nous. Elle est ce petit bout d’Ame qui nous
appartient et qui se fond dans l’Ame globale du monde pour l’éternité…ou
presque », reprend Emmanuel Ransford.
[….]Ainsi le « paradis », empreint d’amour ,
d’unité et de lumière, ne serait pas si éloigné de nous, mais existerait comme
sur une autre fréquence tissée dans l’étoffe même de notre matérialité. Nous
appartiendrions aux deux mondes, mais l’aurions simplement oublié.
« Pendant la période physique de notre existence, notre cerveau voile ou
filtre cet arrière plan cosmique. Mais nous avons tous la capacité de retrouver
la connexion avec ce monde idyllique », soutient Eben Alexander**. Selon
lui, sans ce lien avec cette dimension plus élevée d’où nous venons et où nous
retournons tous, nous demeurons aveugles et le monde nous paraît infernal. Mais
en retissant ce « fil d’or » avec notre essence, la source originelle
et continuelle de notre être, nous retrouvons la sensation d’être profondément
aimés et reliés à tout ce qui est. Notre vie et ses drames prennent un tout
autre sens. « Nous passons nos vies à déclarer triomphalement que le monde spirituel n’existe pas, parce
que nous avons échoué à éveiller en nous l’amour, qui est le seul à pouvoir
rendre lisible cette idée. Ce qui unit le monde céleste à notre monde terrestre
est l’amour. » conclut-il. »
La planète irait mieux si nous y pensions, en conscience, à chaque instant...
« la culture occidentale se retrouve seule au monde à
croire au caractère définitif de la mort. »
Cela donne tout de même à réfléchir…
Avec toute ma bienveillante lumière et à bientôt !
PS je n'ai aucun lien avec le magazine....ni aucune action!!
♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥
*article écrit par Claire Eggermond
** le Dr Eben Alexander, neurochirurgien américain, pensait que
« les EMI étaient de simples fantasmes produits par un cerveau en
situation de stress extrême, avant de plonger lui même dans un coma profond
suite à une grave maladie. « Le niveau d’infection de mon cerveau était si
grave que les lésions cérébrales empêchaient toute production d’hallucinations,
de rêves ou d’effets des médicaments sur la conscience. »
témoigne-t-il. »
bonjour Etoile! cela résonne parfaitement en moi !
RépondreSupprimerEn fait, nous devons vivre dans notre Etre, notre présence divine pour nous sentir bien
La mémoire dont ils parlent me fait penser aux annales akashiques.
Merci pour ce beau message qui nous rappelle qui nous sommes, d'où nous venons et où nous allons ♥
Merci Gilda pour ton message♥
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